Fanny Delpech - janvier/février 2009

photographies et installation



« Ecrire une image » ; c’est cette conception de la photographie qui anime le travail de Fanny Delpech. Diplômée des Beaux-Arts de Dijon, cette jeune artiste aime jouer avec l’idée de spontanéité qui caractérise ce médium.

A l’égal d’un poète qui structure son inspiration en vers rigoureux, Fanny Delpech photographie son imagination, fixe sa sensibilité rêveuse dans un cadre minutieusement étudié. Ses photographies nous racontent des histoires ; le théâtre n’est pas loin. Un théâtre de femmes cependant. Toujours fragiles, des jeunes filles au regard absent posent – semblant livrer aux spectateurs un instant subtil, presque évanescent de leur féminité. Ces compositions, véritables fragments d’histoire de femmes, renvoient à une universalité qui permet à chacun de s’y projeter.
Liza PEGORAROTTO


Pamiers - salle Espalioux - du 9 janvier au 6 février 2009
vernissage le vendredi 9 janvier à 18 h 30
ouverture : lundi, mercredi, vendredi de 14 h à 18 h - samedi de 10 h à 13 h

Fédérique Montane - septembre 2008

Journées du patrimoine



Dans le cadre de la Journée du patrimoine, les 20 et 21 septembre 2008, Frédérique Montane présente une partie de son exposition Mater Matrice dans le mas vieux Saint-Antonin dit Abbaye de Cailloup, en partenariat avec l'association Cailloup Saint Antonin et la Ville de Pamiers.

Bersani - octobre 2008

Peintures, céramiques et sculptures









Bersani est né en Italie, à Sestri Levante (Ligurie), en 1935.
Installé depuis une dizaine d'années dans l'Aude, il nous présente ici différentes périodes de son oeuvre. Peintre, sculpteur, céramiste, graveur "d'une oeuvre figurative prétendument abstraite" comme il aime se définir, on ne peut s'empêcher de le rapprocher d'un des principaux courants du XXème siècle, la peinture non figurative. Mais peut-être la dénomination d'art informel conviendrait mieux à son parcours actuel. Son extrême originalité, sa pluralité infinie et sa rigueur laissent la place à une belle part d'irrationnel et d'onirique.

(...) Ce sont là des fragments de réalité inégaux : des terres, des métaux, des pigments de couleur qui, devenus formes et substance, révèlent une beauté surprenante, tout particulièrement dans l'art de la céramique qui vit par le feu qui la transforme. Il jaillit de tout cela un souffle de légèreté, une sensation de transparence.
Giovanna RIU

Pamiers - salle espalioux -du 1er au 24 octobre 2008
Vernissage le vendredi 3 octobre à 18 h 30



Bersani vit et travaille dans l'Aude, on peut le rencontrer à son atelier :
Domaine de Villarzens
11150 Bram

Pour en savoir plus : 
expo à Carcassonne avril 2010
art majeur 
LombardiaBeniCulturali

Manuel Martinez - Juin 2008

Manuel Martinez
Peintures et sculptures

Chat sur bicyclette
Plate couture

Minautorie te salutan

- Ce qui m’intéresse c’est ce qui se passe à l’intérieur de cette surface plane appelée toile et délimitée par quatre côtés. Cette forme géométrique si simple et d’une complexité si infinie dès lors qu’on y introduit le chaos en posant son pinceau dessus.”
Tout le travail de Manuel Martinez réside dans l'art de réorganiser ce chaos.
Les bleus de Grèce, les carmins pompéiens, les bistres géïens, s'emparent des vastes superficies. Les traits courent, glissent, s’arrêtent et délimitent les formes. Tout concourt à un envahissement de l’espace. Manuel Martinez fait monter son tableau à la manière d’un sculpteur, ce qui confère à l’ensemble une présence saisissante.
André Murcie

Pamiers - salle Espalioux - juin 2008
www.ariegenews.com/news/news-5280.html

Frédérique Montane - mai 2008

Lavis




crédit photo : Olivier Bonhomme - cyspeo88@free.fr

Pourquoi exposer des « lavis » dans une église romane ?

L’exposition « MATER MATRICE » s’intègre complètement dans la symbolique de la « voute en berceau » de l’architecture romane : en effet, la forme arrondie de la voute évoque la grotte primitive, la caverne qui représente l’archétype de la matrice. Il s’agit donc d’un travail de
« mémoire » ou plus exactement d’une rencontre entre mémoire individuelle de l’artiste et mémoire collective, rencontre d’un travail intimiste avec un lieu, une architecture. La sensation de fluidité vient harmoniser les éléments plastiques avec le site.

Cette exposition a été organisée en partenariat avec la mairie de Saint-Jean-de-Verges dans le cadre de la manifestation Cybèle 08.

église romane de Saint-Jean-de-Verges - mai 2008

semaine des femmes - mars 2008


Quatre plasticiennes - Sandrine Deumier, Francine Delpech, Paz Boïra, Claire Dournier - donnent une couleur particulière aux rues commerçantes du centre-ville en investissant quelques vitrines (vacantes ou non) de leurs sculptures, peintures, photos et vidéos.

Pamiers - centre-ville et médiathèque - mars 2008

Paz Boïra - mars 2008

Paz Boïra
Ces Leurres et autres nourritures







Exposition dans la galerie Art'Dco aimablement mise à disposition au 37, rue Gabriel-Péri à Pamiers. Présentation des planches originales du livre de Paz Boïra Ces leurres et autres nourritures, éditions Fremok.

Pamiers - Art'Dco - mars 2008

Fanny Delpech - mars 2008 -

Fanny Delpech
Photo



Quand la ville se noie dans la photo...




Pamiers - 35, rue Victor-Hugo - mars 2008

Claire Dournier - mars 2008

Claire Dournier
vidéo et installation

Vidéo présentée à la médiathèque pendant la semaine des Femmes
Pamiers - médiathèque - 2008






Le papier, matériau vivant : ce qui le fragilise, les trous, la tension, lui donne forme et vie.

Exposition personnelle : installation papier
la ligne idéale
Mirepoix - galerie La Vitrine - 2007



Sandrine Deumier - mars 2008

Sandrine Deumier
Vidéo et céramique





Sandrine Deumier évolue dans des travaux artistiques multidisciplinaires : sculpture, installation, art vidéo, écriture ; elle s'interroge sur les virtualités organiques du corps et les représentations d'une sensation corporelle.

Pamiers - 23, rue Gabriel-Péri - mars 2008

Gérard H. Garcia - janvier/février 2008

Gérard H. Garcia
peintures







"Par un jaillissement des couleurs et un éclatement des formes, les toiles de Gérard H. Garcia mettent en scène les cinq mêmes objets (la mer, le corps féminin, les poissons, le soleil et la lune) jusqu'à l'obsession. En réalité, c'est avant tout le choix d'une contrainte, parce que l'art n'est pas liberté absolue, mais liberté conquise à travers et au-delà des contraintes que s'impose l'artiste. Et de fait chaque occurrence du motif le tranforme, de sorte que toutes les oeuvres en sont comme une nouvelle métamorphose. Il semble qu'en informant ces objets, en les inscrivant dans une architecture, Gérard H. Garcia veut atteindre ce certain degré d'unité poétique qui est, pour lui, la seule vocation de l'art, ce par quoi il atteint à l'universalité."

Antoine Chollet

Pamiers - salle Espalioux - janvier/février 2008

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